Le Télégramme appelle à la relocalisation
des investissements publicitaires
La captation par les grandes plateformes de l’essentiel des investissements publicitaires digitaux fragilise les éditeurs de presse, et la presse quotidienne régionale en particulier. Devant cette situation, le Télégramme appelle les annonceurs à relocaliser leurs investissements publicitaires pour soutenir l’information de proximité, préserver le pluralisme des médias, fondement indispensable de la démocratie. « Le Télégramme propose un espace publicitaire qui inspire la confiance et résonne avec les valeurs de la communauté, souligne Ronan Leclercq, le directeur général de sa branche médias. Nos supports assurent que les messages des annonceurs ne soient pas seulement vus, mais aussi compris et appréciés, sans filtre ni artifice ». Et de rappeler que chaque euro investi dans le Télégramme génère 5,7 euros de revenus. « A une époque où l’attention est devenue un indicateur central pour mesurer l’impact publicitaire, la PQR s’impose comme une référence. Elle occupe la deuxième position parmi les médias en termes d’attention, juste après le cinéma : près de 93% des publicités PQR captent l’attention de manière exclusive et qualitative ». Dans ce contexte de concentration des budgets publicitaires vers les plateformes digitales et d’érosion des investissements alloués à la presse, le Télégramme, au quatrième rang de la presse régionale française et au deuxième rang national pour sa diffusion papier, continue de démontrer son attractivité. « Le journal affiche une progression de 10% de son audience print entre 2022 et 2024 et une croissance remarquable de 21% de sa fréquentation numérique sur la même période », assure-t-il.