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Les recettes publicitaires des médias toujours en croissance, sauf pour la presse

Sur les neuf premiers mois de l’année, le marché publicitaire s’inscrit dans la continuité d’une croissance soutenue avec des recettes publicitaires nettes en hausse de 7,1% sur un an, à 12,364 milliards d’euros (et même de 22,8% par rapport à la même période de 2019, avant le Covid. Selon le Bump (le Baromètre unifié du marché publicitaire), présenté le 14 novembre par l'Irep, France pub et Kantar, ces résultats s’expliquent par l’impact des événements sportifs de l’année, en particulier les Jeux olympiques, mais aussi par la forte dynamique digitale (+10,5% en un an), même si ce sont les plateformes qui en profitent le plus. Malgré tout, « les recettes digitales des quatre médias traditionnels (la télévision, la presse, la radio et l’affichage) ont progressé en un an de 25,1%, à 716 millions d’euros », souligne Christine Robert, directrice déléguée de l'Irep, qui rappelle au passage que les cinq médias (le cinéma en plus) ont vu leurs recettes publicitaires globales augmenter de 6,1% sur la période, à 4,871 milliards d’euros, et « se situent enfin légèrement au-dessus de leur niveau 2019 d’avant-crise ». + de détails 

Ebra vise un retour à l’équilibre en 2027
Pour Ebra, l’exercice 2021, qui avait marqué un retour à l’équilibre après des années de pertes, sera resté une exception. L’inflation et la déterioration de la situation économique en France, associées à une accélération de la baisse des diffusions de la presse (le groupe édite neuf quotidiens : le Progrès, le Dauphiné libéré, le Bien public, l'Est républicain, le Journal de Saône et Loire, Vosges matin, les Dernières nouvelles d’Alsace, l'Alsace, le Républicain lorrain), un recul des recettes publicitaires et une hausse des coûts, notamment du papier, ont eu raison des efforts de gestion menées par son président, Philippe Carli.
Lors d’une réunion du comité de groupe, organisée le 7 novembre dernier, il aurait annoncé, selon les syndicats, la mise en place, l’an prochain, d’un nouveau plan de transformation. « La chute continue des revenus historiques d’Ebra impose des changements structurels pour assurer la pérennité du groupe, leur aurait-il dit. Nous ne pouvons pas continuer à ce rythme avec des ventes de journaux en chute de 8% par an. Sinon, en 2027, nous allons terminer dans une situation que nous n’avons pas du tout envie de connaître ». Une douche froide pour les salariés, mais aussi l’actionnaire du groupe, le Crédit mutuel, qui avait procédé l’an dernier à une recapitalisation de 458 millions d’euros, qui avait permis, pour les deux tiers, de rembourser la dette, d’effacer les comptes courants associés et de remettre le capital social dans le vert, et pour le dernier tiers à soutenir le développement futur.

Droits voisins : les éditeurs de presse multiplient les actions en justice face aux plateformes
Quelques jours après le lancement de la procédure, pour contrefaçon devant le tribunal judiciaire de Paris, d’une cinquantaine d’éditeurs membres de l'Alliance contre Microsoft pour faire respecter les droits voisins sur leurs publications (cf. les Clés de la presse du 12 novembre), c’est au tour du Figaro, des Échos, du Parisien, du Monde, de Télérama, de Courrier international, du Huffington post, de Malesherbes publications et du Nouvel obs d’assigner les sociétés Twitter France et Twitter international unlimited company devant le tribunal judiciaire de Paris, « afin qu’elles soient condamnées à leur verser la rémunération qui leur est due au titre des droits voisins des éditeurs de presse prévus par la loi. « Une condamnation de Twitter par le tribunal judiciaire de Paris dans le cadre de cette nouvelle procédure au fond constituerait une étape supplémentaire dans la mise en œuvre des dispositions légales sur le droit voisin des éditeurs de presse, expliquent-ils dans un communiqué. Les revenus qu’il apporte à ses bénéficiaires et les investissements qu’il leur permet de faire favorisent la pluralité, l’indépendance et la qualité des médias, qui sont essentielles à la liberté d’expression et au droit à l’information dans notre société démocratique ». + de détails 
 
La feuille de route 2025 de #DemainLaPresse
Après sept ans d’existence, le mouvement #DemainLaPresse a voulu connaître et évaluer sa notoriété en interrogeant plus de 500 personnes, représentants d’agences, d’annonceurs, d’éditeurs de presse, de régies, de membres de l’interprofession, sans oublier des étudiants. « L’objectif était d’obtenir des retours, à la fois quantitatifs et qualitatifs, tant en termes d’image que de connaissance et d’appréciations sur nos formations, sur nos événements et sur nos études », nous explique Stéphane Bodier, le directeur général de l’ACPM à l’origine du projet. Un point d’étape essentiel pour écrire la feuille de route 2025. Explications. + de détails 

 
 
Droits voisins : les éditeurs de presse s’attaquent à Microsoft
Le sujet avait été mis en avant, le mois dernier, lors du passage de flambeau entre l’ancien et le nouveau président de l’Alliance de la presse d’information. Après avoir signé des accords sur les droits voisins avec Google et Meta, les éditeurs voulaient en faire de même avec Microsoft. Devant la fin de non-recevoir, une cinquantaine d’éditeurs membres de l'Alliance viennent d’engager des actions en contrefaçon devant le tribunal judiciaire de Paris contre Microsoft pour faire respecter les droits voisins sur leurs publications. « Ces démarches visent à obtenir qu’un acteur majeur du numérique, qui utilise depuis près de cinq ans des millions de contenus de presse sans autorisation, se conforme enfin aux articles L. 218-1 et suivants du Code de la propriété intellectuelle, qui ont transposé en droit français l’article 15 de la directive du 17 avril 2019 sur le droit d’auteur et les droits voisins dans le marché unique numérique, expliquent-ils. Malgré des demandes réitérées depuis plusieurs années, Microsoft, mais aussi sa filiale LinkedIn, continuent à se dérober à cette obligation de transmission de données, indispensable à une négociation de bonne foi ».

 
 
Idéal investisseur fait le pari du papier
Après six années d’édition en ligne et fort d’une communauté croissante d’investisseurs et d’entrepreneurs débutants ou confirmés, Idéal investisseur propose désormais un format print qui explore les tendances et opportunités d’investissement. Le premier numéro de ce magazine bimestriel est sorti le 7 novembre avec l’ambition « d’offrir une lecture enrichissante, sans jargon ni surcharge d’informations, et d’accompagner les lecteurs dans un monde où les solutions de placements évoluent sans cesse », explique sa fondatrice, Caroline Courvoisier. Idéal investisseur a choisi d’ouvrir son premier numéro avec une interview d’Eric Larchevêque, entrepreneur emblématique et figure publique de l’investissement en France, connu pour sa participation à l’émission Qui veut être mon associé sur M6. Et le grand dossier est dédié à un secteur en pleine effervescence : l’intelligence artificielle appliquée à la santé.
 
 
 
Stéphane Simon lancera en décembre un nouveau magazine, sur les affaires criminelles
Déjà éditeur de plusieurs titres de presse, dont Front populaire (avec Michel Onfray), Afterfoot la revue (avec Daniel Riolo et Gilbert Brisbois) ou encore C’est meilleur quand c’est bon (avec Emmanuelle Jarry), Stéphane Simon prépare un nouveau lancement, sur la thématique du true-crime, en s’appuyant cette fois-ci sur McSkyz, un influenceur spécialiste de la question dont la chaîne Youtube cartonne avec près de 2 millions d’abonnés. « Ce magazine trimestriel, Affaires criminelles, sortira à la mi-décembre », nous révèle Christophe Ruet, ancien de Mondadori et Unique héritage média, le bras armé de Stéphane Simon et de ses actionnaires dans la presse. Explications. + de détails 

 
 
Une urgence à relocaliser les investissements publicitaires
Créée en 2022 pour promouvoir la relocalisation des investissements publicitaires, au bénéfice des médias français locaux ou nationaux, qu’ils soient digitaux, radio, TV ou écrits, l’association les Relocalisteurs a présenté cette semaine les résultats d’une étude menée par Uno études & conseil et AixEco, avec les économistes Bruno Coquet et Eric Heyer, qui tend à démontrer qu’il est urgent d’agir. « En relocalisant une partie des investissements, la France pourrait non seulement stimuler son PIB, mais aussi sauvegarder un secteur média essentiel à sa démocratie », souligne son directeur général, Alexis Goujon. Décryptage. + de détails 

 
 
Publihebdos devient Groupe Actu
Quelques semaines après le départ de son patron emblématique, Francis Gaunand, le groupe Publihebdos, la filiale de presse hebdomadaire régionale de Sipa-Ouest France, change d’identité pour devenir le groupe Actu, du nom de la marque développée sur le digital (Actu.fr) qui s’est imposée en quelques années comme l’une des principales plateformes numériques d’information en France. Ce nouveau nom se veut « le symbole de la multitude de titres et marques du groupe, explique-t-on en interne. L’identité visuelle évolue en conséquence, avec un nouveau logo illustrant aussi la convergence vers la marque Actu. La couleur bleue a été conservée, perçue comme incontournable et évidente ».  Le groupe s’est aussi doté d’une raison d’être, « Etre à vos côtés pour vous informer et participer à la vie de nos territoires », ce qui synthétise ses engagements du groupe : « créer et maintenir du lien social sur les territoires, participer et être acteur de la démocratie locale, tenir un rôle sociétal, assurer une mission de service public, faire de l’info-service, et mettre en avant des infos que personne d’autre ne relaie ».
 
 
 
La FNPS profite de ses 50 ans pour affirmer son rôle dans les grands débats sociétaux
La Fédération nationale de la presse d’information spécialisée (FNPS) fête le 6 novembre, en grande pompe, à la BNF, à Paris, son 50ème anniversaire. L’occasion pour son président, Jean-Christophe Raveau, de « montrer notre influence et notre rôle dans les grands débats de société », nous explique-t-il dans un entretien aux Clés de la presse. Au-delà de l’aspect festif d’une telle manifestation, son objectif est de démontrer, exemples concrets à l’appui, que cette famille de presse a toujours fait preuve d’innovations au service de ses lecteurs et de ses annonceurs. Ce sera aussi l’occasion pour lui, en présence de Rachida Dati, ministre de la Culture, de rappeler les dossiers sur lesquels il attend le soutien de l’Etat. + de détails 

 
 
366 choisit l’option interne pour succéder à Stéphane Delaporte
Après avoir cherché et testé de nombreux profils extérieurs avec un chasseur de têtes, c’est finalement en interne que 366 a trouvé le successeur de son directeur général, Stéphane Delaporte, qui va partir à la retraite en mars 2025. Une plutôt une successeur, puisqu’il s’agit de Line Gasparini, directrice générale adjointe de la régie de la PQR. « Cette annonce est importante à plus d'un titre, explique la régie du Linked’in. Elle incarne la promotion des talents de l'entreprise, elle permet la liaison entre la success-story de 366 au cours de ses dix premières années et la conduite de l'ambitieux projet Fast forward pour la décennie qui vient ». Arrivée en 2018 au sein de la régie, après une carrière au sein du Nouvel obs et de M publicité, elle devra mettre en œuvre ce projet stratégique que Stéphane Delaporte nous avait détaillé dans le magazine des Clés de la presse du mois de juin dernier. Ce programme d’envergure inclut le lancement d’une nouvelle plateforme technologique, connectée aux DSP des agences médias, accessible aux régies de la PQR pour les marchés nationaux et locaux. Stéphane Delaporte accompagnera 366 en qualité de consultant pendant les premiers mois de l’année 2025, avant de partir à la retraite.

 
 
L’Humanité accélère sur le digital et l’événementiel
Confronté à des pertes récurrentes et la nécessité de faire appel aux dons de ses lecteurs (environ 2 millions d’euros par an) pour équilibrer ses comptes (30 millions d’euros de dépenses), l’Humanité accélère ses développements numériques et événementiels. Invités le 29 octobre par l’Association des journalistes média (AJM), Fabien Gay, président du directoire, et Anthony Daguet, secrétaire général du journal, ont aussi dénoncé « l’ostracisme publicitaire » à leur égard et militent pour une taxation des transactions publicitaires pour permettre aux médias d’information politique et générale de vivre correctement, au nom d’une certaine « garantie démocratique ». + de détails 
 
 
 
Les médias français se mettent à l’heure de l’élection américaine
Les médias achèvent, avec l’élection présidentielle américaine, une année riche en actualités, politiques et sportives, qui leur ont permis de booster leurs audiences de façon spectaculaire. « La fréquentation des marques numériques d'actualités a été près de deux fois plus élevée le dimanche 30 juin par rapport à un dimanche normal », rappelait avant l’été l’ACPM, chiffres à l’appui (143 millions de visites le jour même et encore 117 millions le lendemain, soit un total de 260 millions de visites). Les marques les plus plébiscitées étaient alors France info et le Monde, devant le Figaro, BFM TV, Ouest France, Actu.fr, le Parisien et Ici (8,4 millions).
C’est ce qui explique leur engouement, depuis plusieurs semaines, pour la couverture de l’élection présidentielle américaine. « C’est la dernière grande séquence politique de l’année, qui complète parfaitement le feuilleton français autour du gouvernement Barnier », souligne-t-on à la direction de la rédaction du Monde, qui n’a cessé de battre des records tout au long de l’année avec, à chaque fois, « une augmentation significative du rythme du recrutement d'abonnés ». + de détails 

 
 
Les nouvelles tendances des programmes TV jeunesse
Les chaînes pour la jeunesse ont vu leur audience progresser dans le monde, selon une étude de Glance, le département international de Médiamétrie, dont les résultats ont été présentés lors du dernier Mipcom. En Allemagne, en Espagne et en Italie, ces chaînes pour enfants ont vu leurs parts d'audience respectives augmenter auprès des téléspectateurs les plus jeunes (préscolaires) par rapport au premier semestre 2023 : +1,6 point outre-Rhin, +2,1 points en Espagne et +0,6 point en Italie. En France, les chaînes ont maintenu une part d'audience stable, tandis que l'on observe un déclin au Royaume-Uni. En France, la case jeunesse Tfou en France, diffusée désormais sur TF1 et TFX, a augmenté son temps d'antenne et élargi son audience. « La télévision à destination du jeune public poursuit sa mue, souligne Candice Alessandra, directrice d'études et relations clients chez Glance. On observe un grand intérêt pour les contenus originaux et porteurs de sens, qui stimulent et relancent l'audience des chaînes pour enfants ». + de détails 
 
 
 
Prisma média décline sa marque digitale Cuisine AZ sur papier
Un an après l’acquisition du pôle M6 digital services (et de ses marques digitales CuisineAZ, Passeport santé, Déco.fr ou Turbo.fr), Prisma média étoffe son offre de magazines cuisine avec le lancement, le 23 octobre, de Cuisine AZ. Un magazine papier haut de gamme, publié cinq fois par an, dont le premier numéro est mis en place à 150 000 exemplaires (au prix de 3,50 euros). Chaque numéro proposera 120 recettes inédites, des conseils d'experts, des astuces pratiques et une mise en avant des produits de saison. + de détails 

 
 
Nice matin réfléchit à l’avenir de la presse et des médias
Fake news, crise du modèle économique, fragmentation des audiences, concurrence des réseaux sociaux et de l'intelligence artificielle… A l’heure où les fondamentaux de la presse sont chahutés, le groupe Nice matin organise, le 7 et 8 novembre, deux jours de conférence autour de l’innovation numérique et de l’avenir des médias. « Qu'ils soient journalistes, chercheurs, patrons de presse, ils seront là pour partager leur expérience et pistes de réflexion et éclairer le public sur la façon dont les médias peuvent innover et créer un écosystème pour servir au mieux leurs audiences et raconter la complexité d'un monde en mouvement », explique Olivier Marino, directeur adjoint des rédactions du groupe. Cet événement, en accès gratuit, est organisé dans le cadre du IQ média hub, un projet transeuropéen soutenu par l'Union européenne avec le concours de la National & kapodistrian university of Athens et des médias grecs, portugais et chypriotes.

 
 
Un nouveau directoire resserré pour Bayard
Le groupe Bayard va adopter, comme prévu, une nouvelle gouvernance à partir du 1er novembre, avec le départ de trois des membres de son directoire (son président, Pascal Ruffenach, qui part à la retraite, et deux directeurs généraux, Florence Guémy et Jean-Marie Montel, qui quittent le groupe). Le conseil de surveillance de Bayard SA a confirmé, hier 24 octobre, la nomination de François Morinière comme président du nouveau directoire et renouvelé le mandat de Dominique Greiner comme directeur général. Les deux hommes constituent le nouveau directoire pour un mandat de quatre ans. François Morinière est loin d’être inconnu dans la presse et les médias puisqu’il a dirigé la société d’affichage Giraudy pendant sept ans, puis le groupe l’Equipe pendant plus de six ans. Et il connaît Bayard depuis longtemps, étant membre du conseil de surveillance et président du comité d’audit depuis six ans. Il préside aussi depuis 2016 les Entretiens de Valpré, rencontres économiques qui se tiennent sur le site de Valpré, une des œuvres de la congrégation des Augustins de l'Assomption (le propriétaire de Bayard), à Lyon.
 
 
 
Création d’une coopérative pour soutenir les médias indépendants
Après l’énergie (avec Enercoop) et l’alimentation (avec Biocoop), les acteurs de l’économie sociale et solidaire se mobilisent en faveur des médias, en particulier des médias indépendants, avec la création de Coop-médias. « Au départ, le projet est né au sein du collectif pour une transition citoyenne, qui regroupe une trentaine d’organisations dont l’ambition est d’aider le citoyen à se réapproprier des domaines de leur vie quotidienne, nous explique Lucie Anizon, secrétaire générale d’Enercoop, qui prend la direction de Coop-médias, dans un entretien aux Clés de la presse. Nous nous battons depuis des années pour une société plus solidaire et plus démocratique. Or nous étions absents du monde des médias qui peut permettre de renverser la table. Avec Coop-médias, nous nous donnons les moyens de renforcer, structurer et financer le secteur des médias indépendants ». Explications. + de détails 
  
 
 
Femme actuelle joue la carte du média conversationnel
Femme actuelle débute cette semaine une refonte globale de son écosystème et renoue avec son ADN en s’engageant auprès des femmes pour leur donner la parole et le pouvoir. « Le journal est au service de ses lectrices depuis 40 ans, souligne sa rédactrice en chef, Sabrina Nadjar. Avec cette nouvelle formule, nous poussons le curseur plus loin en entamant une véritable conversation avec elles. Notre ambition est de les écouter afin d’être au plus près de leurs besoins et leurs attentes, de les aider à faire des choix éclairés mais aussi porter leurs initiatives et mettre notre puissance à leur service ». Exemple, de nouveaux contenus interactifs et engagés sont désormais coconstruits avec les lectrices qui sont invitées à prendre position, à évoquer les sujets qui les concernent et à témoigner de leur quotidien. Une nouvelle rubrique, Femme & actuelle, met en lumière leurs actions en région, leurs choix de vie et leurs engagements. Dans la rubrique Vous & nous, des experts répondent aux questions des lectrices en matière de santé, beauté, conso, droits… Elles peuvent aussi tester les produits et les nouveautés des marques, et bénéficier de conseils personnalisés en matière d’économie d’énergie, de relooking déco… + de détails 

 
 
 « Harper’s bazaar intérieurs incarne la fusion idéale de la mode et du design »
Prisma média a lancé, le 17 octobre, un nouveau magazine papier. Comme son nom l’indique, Harper’s bazaar intérieurs est une déclinaison d’Harper’s bazaar, magazine de mode icônique lancé par le groupe en février 2023. L’idée est née dans la tête d’Isis-Colombe Combréas, fondatrice des magazines Milk et Milk décoration, rachetés par Prisma média il y a dix-huit mois. « J’ai imaginé un magazine axé sur le design, l’architecture d’intérieur et l'art de vivre glamour, avec une grande place accordée aux antiquités, nous explique-t-elle dans un entretien aux Clés de la presse. Il ne fallait pas refaire un autre magazine sur la décoration, puisque le groupe publie déjà Milk, Milk décoration, les Côté(s), The good life et Ideat, tout en restant dans l’ADN du Bazaar mode ». Entretien. + de détails 

 
 
La lecture de la presse majoritairement à domicile
Dans la dernière mouture de son étude One next, centrée exclusivement sur l’audience print des journaux et magazines, et dont les résultats ont été publiés le 17 octobre, l’ACPM a choisi d’apporter un éclairage sur les habitudes de lecture des Français : comment ils se sont procurés la presse, leurs lieux de lecture, les moments de lecture... Il en ressort notamment que la lecture se fait majoritairement (58%) à domicile et se déroule tout au long de la journée, avec un pic important le soir, après 18 heures. Explications en 4 points. + de détails 

 
 
Un nouveau nom pour Usbek & Rica
Si vous avez l’habitude d’aller chercher Usbek & Rica dans un point de vente, vous aurez du mal à le trouver car le magazine change de nom et se renomme Futu&r. « Un virage somme toute logique, estime son rédacteur en chef, Blaise Mao. Après avoir passé quinze ans à expliquer notre héritage, il nous a semblé essentiel de mettre en avant celui que nous souhaitons laisser aux générations à venir ». C’est ainsi qu’Usbek & Rica, le magazine qui explore le futur, devient Futu&r, le magazine d’Usbek & Rica. Si ses lecteurs ne devraient pas être trop perturbés par le changement, avec toujours des articles au long cours pour explorer l'avenir, les thématiques évoluent peu à peu. Exemple, l'intelligence artificielle, le transhumanisme ou la collapsologie émergeaient à peine au lancement, en 2010, elles font maintenant partie des sujets de fond. + de détails 
 
 
 
La presse papier est le média qui inspire, avec la radio, le plus confiance
Si la confiance dans les médias reste faible, la presse papier s’affirme comme le média qui inspire le plus confiance aux Français, avec une note de 6,2 sur 10, au même niveau que la radio, mais bien au-dessus des plateformes de vidéos gratuites (4,5 sur 10) et des réseaux sociaux (3,5 sur 10). Selon une étude présentée la semaine dernière par l’ACPM et l’institut CSA, la presse digitale apporte des atouts complémentaires à la presse papier, comme l’immédiateté de l’information, la pertinence des contenus et le caractère indispensable du média, dont on ne peut plus se passer. Décryptage. + de détails 

 
 
Pourquoi Acteurs publics ajoute une brique formation à son activité
L’idée est née il y a deux ans quand Acteurs publics très transformée en entreprise à mission et s’est dotée d’une raison d’être : « mieux informer, mieux former et mieux accompagner ». Après une première phase de réflexion et de maturation, cette activité de diversification s’est accélérée avec la création de l’institut Acteurs publics en octobre 2023, puis le recrutement, quelques mois plus tard, d’un ancien recteur et directeur de cabinet de la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’innovation, à la présidence du comité de pilotage de l’institut, enfin les acquisitions de l’Institut des hautes études des métropoles en juin et de CFC formations ce mois-ci. « Au-delà d’une activité de diversification qui pourrait représenter rapidement 30% de notre chiffre d’affaires, la formation renforce notre empreinte sur notre secteur (le fonctionnement des politiques publiques, NDLR), nous explique Pierre-Marie Vidal, le président-fondateur du groupe Acteurs publics. Elle enrichit le lien de confiance avec nos lecteurs et alimente la rédaction de tendances et d’expertises nouvelles ». Décryptage. + de détails.

 
 
Les Echos passe du Web-first au reader-first
Mise en place d’une nouvelle organisation de la rédaction au service du lecteur, création de nouveaux contenus éditoriaux, lancement de sa première campagne de marque depuis 2017… Cinq mois après l’arrivée de Christophe Jakubyszyn à la direction des rédactions, les Echos part à la conquête de nouvelles audiences, notamment les femmes et les jeunes. « Nos lecteurs ont beaucoup changé, les usages aussi, souligne-t-il. Nous ne savons pas où ils seront dans cinq ou dix ans, mais nous devons être prêts aller là où ils iront et à répondre à leurs attentes ». « Notre mission n’a pas changé, ajoute Pierre Louette, le Pdg du groupe les Echos-le Parisien, nous devons donner à nos lecteurs les clés de compréhension du monde ». C’est l’ambition du nouveau plan stratégique les Echos 2030. + de détails

 
 
Ebra publie sa charte de l’utilisation de l’IA dans ses contenus journalistiques
Le groupe Ebra a publié, le 5 octobre, dans les colonnes de ses journaux (l'Alsace, les Dernières nouvelles d'Alsace, le Progrès, le Journal de Saône et Loire, le Bien public, l'Est républicain, le Républicain lorrain, Vosges matin, le Dauphiné libéré et Vaucluse matin), une charte de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans ses contenus journalistiques. « Le développement rapide de l’intelligence artificielle et des évolutions technologiques qui y sont associées sont une réalité, rappelait le 26 septembre Sébastien Georges, rédacteur en chef de l’Est républicain, du Républicain lorrain et de Vosges matin (au sein du groupe Ebra), lors du festival de l’info locale. L’IA, notamment générative, va engendrer une révolution économique, sociale et sociétale. Tous les secteurs sont concernés et celui des médias sera directement impliqué dans le recours à l’IA et les conséquences de son utilisation ». + de détails 

 
 
TF1 accélère la commercialisation publicitaire de sa plateforme TF1+
Dix mois après le lancement de TF1+, le groupe TF1 franchit une nouvelle étape dans sa stratégie d’accélération digitale en dévoilant sa feuille de route publicitaire dans l’univers du streaming, avec une ambition claire : être la plateforme de référence du marketing full-funnel et accompagner les marques dans l’intégralité de leur stratégie digitale. « Nous avons lancé TF1+ en janvier dernier avec une ambition éditoriale et technologique très forte, et ce lancement est un vrai succès, assure Rodolphe Belmer, Pdg du groupe TF1. Nous continuons le déploiement de la plateforme grâce à notre stratégie d’agrégation d’éditeurs tiers et en étendant notre distribution à l’espace francophone. Aujourd’hui, notre ambition est de faire de TF1+ la première plateforme du marketing digital ». + de détails 

 
 
Avec Gamesider, Prisma média renforce son offre dans le domaine des jeux vidéo
Prisma média poursuit sa stratégie de développement de médias digitaux et sociaux à destination de la génération Z. Après avoir racheté les pure-players digitaux du groupe M6, puis lancé en début d’année les nouveaux médias spécialisés Bound, Famed, Pluriel, Uppercut MMA et Suzie, sa filiale Famed & bound média annonce le lancement de Gamesider, un nouveau média pour les passionnés de gaming et de pop culture, pensé par des passionnés pour des passionnés. Habillé d’un nouveau logo inspiré du mythique jeu Portal, Gamesider s’intéresse à la fois aux jeux vidéo (pour suivre de près toutes les actualités gaming), à la pop culture (pour tout savoir sur les films à venir, les meilleures séries du moment et l'actualité des mangas), le streaming (pour suivre les meilleurs streamers sur Twitch ou Youtube) et la technologie (avec les meilleurs tutos et bons plans sur console, smartphone ou ordinateur). « Comprendre et créer du lien avec la génération Z est l’un des enjeux de notre société, estime Pascale Socquet, directrice générale de Prisma média. Nous sommes fiers d'être en lien avec plus de 15 millions d'entre eux grâce aux marques sociales de Famed & Bound média, et Gamesider vient idéalement compléter notre portefeuille ». Cinq mois après le lancement des de Bound, Famed, Pluriel, Uppercut MMA et Suzie, le groupe revendique déjà plus de 600 000 nouveaux followers et 140 millions de vidéos vues chaque mois. 
 
 
 
La rédaction de l’Eléphant lance un trimestriel de décryptage de l’actualité
Après l’Eléphant et l’Eléphant junior, Scrineo s’apprête à lancer, le 3 octobre, un nouveau magazine, un trimestriel d’actualité baptisé Puzzle. « Cela peut paraître paradoxal, mais cela a un sens, nous explique Jean-Paul Arif, directeur de la publication, dans un entretien aux Clés de la presse. Nous ne sommes pas dans la couverture de l’actualité, mais dans la réflexion, la mise en perspective, le temps long ». Comme l’Eléphant (magazine de culture générale), Puzzle fait appel à des enseignants, des chercheurs et des journalistes spécialisés, qui apportent leur expertise, leurs points de vue et l’éclairage de la recherche. Et comme l’Eléphant, le modèle économique repose essentiellement sur la vente au numéro, puisque la part de la publicité est volontairement réduite, dans un souci d’indépendance et de fiabilité. Décryptage. + de détails
 
 
 
M le magazine du Monde se met à l’anglais 
M le magazine du Monde part à la conquête de l’international avec le lancement de M international, une édition en anglais qui proposera, une fois par saison, une sélection des meilleurs articles et des images les plus fortes de M. Distribué dans les grandes capitales, M international sera publié deux fois par an à l'occasion de la Fashion week de Paris. « M international, c’est toute l’essence de M pour un public international qui nous connaît à travers les réseaux sociaux, notamment Instagram, mais qui désire tant tenir l’objet papier entre les mains, explique Marie-Pierre Lannelongue, directrice adjointe de la rédaction du Monde qui a lancé M en septembre 2011. Cette vaste communauté, qui s’étend des Etats-Unis à l’Asie, apprécie déjà nos images car nous travaillons avec les meilleurs photographes ou illustrateurs et les plus grands mannequins du moment. Nous allons donc lui proposer un numéro original totalement nouveau avec une thématique éditoriale qui raconte quelque chose de la France et de l’époque ». + de détails 

 
 
L’Essentiel remporte le prix Nouveau média du festival de l’info locale
Le prix Nouveau média du festival de l’info locale a été décerné, le 27 septembre à Nantes, à l’Essentiel, un réseau de newsletters d’informations quotidiennes locales qui propose, tous les matins, à 6h30, du lundi au vendredi, une sélection de cinq informations pratiques et positives sur ce qui se passe dans les principales agglomérations françaises. Bons plans, météo, trafic, sorties, initiatives locales, emploi, santé, vie des entreprises, projets d’urbanisme… « nos abonnés peuvent découvrir l'essentiel de l'actualité du jour dans leur villes en cinq minutes chrono, explique Emmanuelle Magne, directrice adjointe de la rédaction. Nous parlons de tout, sauf des faits divers et de la politique ». Explications. + de détails 
 

 
  
Avec sa nouvelle formule, Notre Temps part à la conquête de nouvelles audiences
Après une année de préparation, Notre Temps s’apprête à proposer, la semaine prochaine, à ses lecteurs une formule radicalement différente, tant au niveau du graphisme que du fond, « tout en gardant nos fondamentaux en termes de qualité des contenus et de référence dans le domaine du droit, tient à nous préciser Emmanuelle Delapierre, directrice déléguée de Bayard en charge du secteur grand public, dans un entretien aux Clés de la presse. Nous devons bien sûr continuer à fidéliser nos abonnés et valoriser la richesse de nos contenus, mais l’objectif est de conquérir cette nouvelle génération de cinquantenaires en fin de carrière, qui s’apprêtent à prendre leur retraite ». Décryptage de sa feuille de route. + de détails

 
 
Le Dauphiné libéré repasse à l’offensive
15 mois après la mise en place de sa nouvelle formule, le Dauphiné libéré profite de la rentrée, et de son 80ème anniversaire, pour annoncer le lancement de plusieurs initiatives éditoriales innovantes, « pensées pour répondre aux attentes des lecteurs d’aujourd’hui et de demain, explique son directeur général, Christophe Victor. Cet anniversaire est l’occasion de revenir sur notre histoire, parce que c’est un ancrage et des racines très importantes, mais également de se projeter vers l’avenir ». Le quotidien grenoblois veut intensifier sa proximité et renforcer ses communautés. Explications.  + de détails

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Comment Science & vie junior repart à l’offensive

Avec une nouvelle formule print et un nouveau site le 7 février, un hors-série (100 inventions dingues) le 14 février et un nouvel événement (la journée des jeunes inventeurs) le 3 mars, Reworld média a choisi de réinventer Science & vie junior. Depuis sa création le 20 janvier 1989, il y a tout juste 35 ans, cette déclinaison de Science & vie s’est faite une place sur le marché de la presse jeunesse, et a d’ailleurs encore été élu en 2023 comme le meilleur magazine jeunesse par le jury du prix Relay/SEPM. Mais sa diffusion est en forte baisse depuis quelques années. Décryptage. + de détails

 
 
L’audio digital monte en puissance selon l’ACPM
Le marché de l’audio digital continue de se structurer. Selon l’ACPM, qui a publié le 2 février son bilan pour l’année 2023, il confirme sa progression, avec une augmentation de 4% de la durée d’écoute pour les radios digitales (sur une base de 1912 Web radios étudiées) et une hausse de 9% des téléchargements pour les podcasts (sur une base de 842 podcasts, dont 436 nouveaux en 2023). Explications. + de détails

 
 
La Dépêche du midi reprend une brasserie mythique de Toulouse
La Dépêche du midi poursuit sa stratégie de diversification en reprenant, au côté d’Esprit Pergo, restaurateur de renom à Toulouse, la brasserie Bibent, située place du Capitole. Si la préservation des emplois des 43 salariés et la volonté de redonner vie à cette institution emblématique sont à l’origine de cette opération, l’objectif est d’aller plus loin. « Nous voulions faire quelque chose ensemble depuis longtemps et nous avons considéré que la reprise du Bibent était une formidable occasion de réaliser ce projet », expliquent Jean-Nicolas Baylet, directeur général du groupe la Dépêche, et Thomas Fantini, le président d’Esprit Pergo, qui rappellent que c’est dans cet établissement que Jean Jaurès, alors adjoint au maire de Toulouse, venait écrire ses articles pour le journal. 
 
 

Investir donne le coup d’envoi de la célébration de ses 50 ans
Créé le 28 janvier 1974 par des journalistes de la Vie française, Investir a toujours conservé son ADN d’origine de journal d’information et de conseil pour les épargnants et des investisseurs. Le spectre des placements s’est considérablement élargi en 50 ans, mais « nous avons toujours la mission d’analyser une information économique, fiscale et financière, pour aboutir à des conseils pratiques pour les épargnants », nous rappelle François Monnier, directeur de la rédaction d’Investir, mais aussi des autres magazines patrimoniaux et financiers du groupe les Echos-le Parisien (le Journal des finances, Boursier.com et Mieux vivre votre argent).
Pour fêter son 50ème anniversaire, la rédaction a choisi de tirer les enseignements du demi-siècle passé pour se projeter dans l’avenir. « La Bourse s’inscrit dans le temps long, et cet anniversaire est l’occasion de le démontrer », poursuit-il. Pendant toute l’année, Investir proposera, tous les premiers samedis de chaque mois, un dossier spécial sur une thématique majeur du secteur : pourquoi la Bourse aime les belles histoires, la Bourse face à l’adversité, l’assurance-vie, le marché immobilier, la retraite, les enjeux responsables et environnementaux. Le dispositif commence le février avec les unes emblématiques du journal, une reprise de l’interview de Valéry Giscard d’Estaing, alors ministre des Finances, paru dans le premier numéro, et un entretien avec Stéphane Boujnah, le Pdg d’Euronext. « Car c’est en regardant dans le rétroviseur que l’on peut se projeter », estime François Monnier, qui promet aussi des rencontres physiques avec les lecteurs du journal et la communauté financière. Cet anniversaire est aussi l’occasion de faire repartir à la hausse la diffusion France payée d’Investir après deux années de stagnation (64 475 exemplaires sur la période 2022-2023, mais 60 204 exemplaires en 2019).

 
 
Gala promet un nouveau projet pour le 21 mars
Le nouveau Gala sortira dans les kiosques le 21 mars, tout juste quatre mois après son rachat à Prisma média par le groupe Figaro. « Ce n’est pas une nouvelle formule, mais un nouveau projet, un nouveau format », a assuré Matthias Gurtler, son directeur de la rédaction, le 31 janvier, à l’occasion d’une présentation au marché publicitaire. « Gala est une marque de l’émotion, dans le cœur des Français, qui a beaucoup de points communs avec le Figaro, estime de son côté Aurore Domont, la présidente de la régie, Media.figaro. Elle complète parfaitement notre offre à destination des femmes, avec Madame Figaro, le Journal des femmes et Mad ». Explications. + de détails

 
 
Le Monde étoffe son dispositif éditorial pour les JO
A quelques mois des Jeux olympiques et paralympiques, le Monde, qui couvre depuis un an l’actualité des sports, les qualifications, la préparation de la cérémonie d’ouverture, la billetterie et les questions qui se posent sur le budget, la sécurité et l’empreinte écologique des JO de Paris 2024, renforce son dispositif éditorial sur tous ses supports. « Vidéos, pages et cahiers spéciaux, lives, infographies, correspondants internationaux : une équipe de 80 journalistes de la rédaction du Monde est mobilisée pour faire vivre et décrypter l’événement », explique son directeur, Jérôme Fenoglio. Une couverture également accessible en anglais sur le site et l’application le Monde in english et dans la rubrique Paris Olympics 2024.
Pour aller plus loin, la double page d’articles et d’enquêtes, auparavant publiée chaque mois, devient hebdomadaire. De même, de plus en plus d’articles dédiés, des lives et des tchats sont accessibles sur le site du Monde et dans la rubrique Jeux olympiques de Paris 2024. De son côté, M le magazine du Monde proposera aussi des enquêtes et portraits à partir du printemps 2024. La rédaction du Monde suivra aussi l’arrivée de la flamme olympique à Marseille avec une couverture particulière. Puis, à partir du daté du 25 juillet, le quotidien publiera chaque jour un cahier spécial de huit pages tout au long de la compétition. Enfin les Jeux paralympiques feront également l’objet d’une couverture et d’une pagination exceptionnelles.

 
 
Ouest France profite des Jeux olympiques pour tester un nouveau format éditorial
Ouest France a publié, le 31 janvier, un nouveau magazine 100% numérique et 100% dédié aux Jeux olympiques et paralympiques. Baptisé l’Edition des jeux, ce nouveau titre vient compléter le dispositif éditorial du journal pour les JO de Paris 2024, déjà décliné dans le quotidien papier et les supports numériques de la marque. « Ce nouveau magazine a la double vocation d’offrir quelque chose de nouveau à nos abonnés et d’aller chercher de nouveaux lecteurs », nous explique Edouard Reis Carona, rédacteur en chef de Ouest France en charge de l’innovation. Décryptage. + de détails

 

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